L'augmentation continue de la résolution des modèles opérationnels nécessite l'utilisation de bases topographiques de plus en plus fines pour représenter au mieux le relief dit résolu du modèle mais également les champs sous-maille utilisés par certaines paramétrisations physiques. Cette petite étude vise à apporter quelques éléments de réponses à la question "Quelle est la résolution de la base topographique nécessaire pour utiliser un modèle dont la maille fait 2.5km, 1.3km ou encore 500m?" D'une part, on montre comment les champs sous-maille calculés pour SURFEX varient en fonction de la résolution de la base topographique utilisée. D'autre part, une méthode est proposée pour améliorer le champ d'écart-type sous-maille, en particulier dans les situations où la base topographique utilisée n'a pas la résolution nécessaire.